Overwatch, Blizzard engage des poursuites
Les tricheurs n'ont pas fini de faire parler d'eux sur ce jeu ! Blizzard engage de nouvelles actions en justice à l'encontre des créateurs de ces programmes. La première fois que ce cas de figure a eu lieu, c'était en octobre 2010 alors que Blizzard tentait de défendre sa perle, Starcraft II.
Les locaux américains de Blizzard.
C'est donc un problème sans fin auquel s'attaque Blizzard : Est-il possible de créer un jeu où le cheat n'existe sous aucune forme ? Actuellement, c'est l'exploitation de bugs et l'utilisation de logiciels tiers qui font polémiques sur Overwatch. Afin de montrer l'exemple, la grande firme américaine a donc décidé de mener une action en justice à l'encontre du groupe allemand Bossland qui concevait et revendait des logiciels interdits.
Plus qu'un problème, c'est une véritable malédiction qui s'abat sur beaucoup de jeux à la mode ces derniers temps. Pour dissuader les joueurs, Blizzard semble avoir trouvé comment s'y prendre : Chaque utilisateur ayant des données de jeu suspectes, peu cohérentes et qui peuvent être assimilés à du cheat seront bannis définitivement du jeu. De plus, le fait d'utiliser un bug afin d'en tirer un avantage est également considéré comme un cheat.
Pour informations, les logiciels produits par Bossland permettaient de localiser alliés et adversaires partout sur la carte, ainsi que leur nombre de points de vie. Vous imaginez l'ultimate de Fatale activé en permanence ? Ne vous laissez cependant pas tenter, car le prix à payer est très lourd : Même racheter un jeu Overwatch ne permets pas de passer outre le bannissement définitif.
Plus que cela, le concepteur allemand, fort de son expérience, assurait récemment "proposer des logiciels plus difficilement détectables", il faut tout de même savoir qu'il s'agit d'un aveu et que Blizzard pourra très certainement utiliser ce même argument contre eux. Pour conclure, la firme souhaite porter plainte à un tribunal américain, faisant valoir le fait qu'eux-mêmes soient ressortissant Américain, que les programmes sont utilisés par des Américain, ou même que les concepteurs de ces logiciels néfastes sont d'origines américaine. Affaire à suivre, donc.
Retrouvez un exemple de logiciel de triche avec la vidéo ci-dessous :
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